Pôle Social

Vous et votre famille êtes éprouvés par le récent décès de votre conjoint.
Au-delà du chagrin ressenti, vous avez besoin d’être soutenue et guidée dans vos démarches pour aller de l’avant.

Si vous avez récemment perdu un proche, cette période peut être incroyablement difficile à traverser. Au-delà de la douleur émotionnelle, vous pourriez avoir besoin d'un soutien et d'être guidé dans vos démarches pour aller de l'avant.

ll est essentiel de vous rapprocher de votre médecin traitant pour être orienté, ainsi que vos enfants, vers un Centre Médico Psychologique. Ces centres disposent de professionnels spécialisés pour vous accompagner dans ce moment difficile.

Votre médecin peut également vous diriger vers un professionnel du réseau « Mon soutien psy » de l’Assurance Maladie. Les associations ou les groupes de parole peuvent également vous offrir un espace pour partager votre douleur, être écouté, soutenu et compris, sur le long terme. Les associations ou les groupes de parole peuvent également vous offrir un espace pour partager votre douleur, être écouté, soutenu et compris, sur le long terme.

Si des enfants sont concernés, vous pouvez en parler avec l’équipe enseignante. L'école peut en effet solliciter un psychologue scolaire afin de les aider à traverser cette épreuve.

Vous êtes concerné et vous avez besoin d’une réponse personnalisée, nous vous encourageons à appeler un conseiller qui vous accompagnera et vous conseillera sur les démarches à envisager.

À la suite de la perte de son emploi, votre conjoint s’est réfugié peu à peu dans l’alcool. Il devient parfois violent et agressif envers vous, et vous craignez que la situation ne dégénère. Vous devez quitter votre logement en urgence car vous vous sentez en danger.

Dans le cas d’une situation de violence conjugale ou familiale et s’il y a un danger pour votre vie ou celle de vos proches, contactez en priorité les services de police ou de gendarmerie au 17 (ou au 114 pour les personnes sourdes ou malentendantes).
Si la situation ne relève pas d’une urgence absolue, organisez-vous afin de quitter votre logement dès que l’occasion se présentera…
Pour commencer, regroupez vos documents importants tels que :

• pièce d'identité, passeport, carte de séjour, livret de famille ;
• carte vitale et de mutuelle ;
• titre de propriété, papiers du véhicule ;
• vos codes d’accès aux sites de la banque et autres sites importants (Assurance Maladie, CAF…) ;
• vos éléments de preuve (certificats médicaux, témoignages, photos, récépissé de dépôt de plainte…).

Mettez vos documents en lieu sûr. La plateforme Mémo de vie (https://memo-de-vie.org), gratuite et sécurisée, peut vous aider à compiler ces éléments.

Préparez un sac de départ, dans lequel vous regrouperez du linge de rechange, un moyen de paiement, de l’argent liquide, et le double de vos clefs de maison et/ou de voiture. Si vous le pouvez, confiez ce sac à un proche de confiance. À défaut, cachez bien ce sac afin que votre conjoint ne le trouve pas.
Enfin, cherchez un hébergement sûr, pour le jour où vous pourrez partir : Adressez-vous au service téléphonique national d’écoute à destination des femmes victimes de violences : Violence femme info / Tél : 3919 (le service est ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7, et l’appel est anonyme et ne figure pas sur les factures de téléphone). Contactez l’association France Victimes la plus proche de chez vous : https://www.france-victimes.fr / Tél : 116 006
Et sachez que depuis peu, la CAF (Caisse d’Allocations Familiales) propose une aide d’urgence pour les victimes de violences conjugales.
La demande peut se faire en ligne et nécessite d’être en possession d’un document datant de moins de 12 mois attestant des violences.

Parce que votre situation mérite un accompagnement personnalisé, n’hésitez pas à contacter un conseiller qui saura vous écouter et qui pourra vous soutenir et vous conseiller dans vos démarches.

Vous et votre ex-conjoint(e) avez décidé de divorcer. Vous vous interrogez sur les conséquences sur votre vie, qui s’en retrouve fortement chamboulée. En effet, des ajustements et des démarches s’annoncent à vous, mais ce n’est que temporaire, et il est tout à fait possible de retrouver rapidement votre équilibre de vie !

Si vous avez opté pour une garde alternée pour vos enfants, la première étape consiste à rédiger une convention à présenter au Juge des Affaires Familiales (JAF) pour définir le rythme de résidence chez chacun des parents. En ce qui concerne les prestations familiales de la CAF, plusieurs options s'offrent à vous : vous pouvez convenir ensemble du parent qui percevra les allocations ou choisir une répartition équitable des charges pour le calcul des aides. En cas de désaccord, la charge partagée est appliquée.

Du point de vue fiscal, l'enfant est considéré comme étant à la charge égale des deux parents, sauf en cas de décision judiciaire ou de preuve de charge principale pour l'un des parents. La garde alternée est compatible avec le versement d'une pension alimentaire.

Quant à la vie sociale, plusieurs démarches peuvent vous aider à ne pas vous isoler.
Renouer le contact avec vos amis communs peut être une première étape pour réévaluer vos relations amicales.
Vous pourriez également envisager de vous inscrire dans des clubs sportifs ou de loisirs pour rencontrer de nouvelles personnes et tisser de nouveaux liens tout en pratiquant une activité qui vous plaît.

Contactez-nous par mail ou téléphone pour obtenir des conseils adaptés à votre situation et être dirigé vers les bonnes personnes pour vous aider à avancer.

Suite à un AVC, votre compagne est restée paralysée et a perdu en autonomie. Elle bénéficie d'une prise en charge pour de l’aide à domicile mais vous aimeriez la soutenir et l’accompagner du mieux possible. Toutefois, il vous faut jongler entre vos responsabilités professionnelles et le soutien que vous souhaitez lui apporter.

Connaissez-vous le congé de proche aidant ?
Ce congé de 3 mois (renouvelable jusqu’à 1 an), permet sous certaines conditions de cesser votre activité professionnelle afin de vous occuper d’un proche handicapé ou faisant l’objet d’une perte d’autonomie d’une particulière gravité.

Bien qu'il ne soit pas rémunéré par l'employeur, vous pourriez bénéficier de l'Allocation Journalière du Proche Aidant pour compenser la perte de revenus.
Si vous avez au moins un an d'ancienneté dans votre entreprise, vous pouvez adresser une demande à votre employeur un mois à l'avance, sauf en cas d'urgence médicale, où un justificatif permet un congé immédiat.

Par exemple : en cas de dégradation soudaine de l’état de santé. Dans ce cas, et sur présentation d’un justificatif médical, le congé sera accepté immédiatement. En attendant la prise de ce congé, ou même en complément, vous pouvez faire installer un système de téléassistance. Cela permettrait à votre compagne d'être en contact avec des professionnels en cas de besoin, offrant une assistance immédiate en cas de chutes ou de malaises, vous soulageant ainsi lors de vos absences éventuelles.

Un de vos proches (enfant, parent, conjoint…) présente un handicap, une perte d’autonomie ou souffre d’une grave maladie ? Il a besoin d’une présence à ses côtés ? Nos conseillers peuvent vous aider à faire le point sur cette situation et envisager les différentes possibilités qui s’offrent à vous.

Avec la perte d'autonomie de votre parent, il est vraiment difficile de jongler entre une activité professionnelle et les responsabilités familiales.
La charge semble écrasante, et vous vous demandez probablement comment maintenir un tel rythme à long terme.

Il est crucial de reconnaître le stress généré par votre quotidien, car votre bien-être est essentiel pour équilibrer vos différents rôles.
Certaines habitudes de vie ou comportements peuvent permettre d'évacuer le stress ou d'en diminuer les conséquences néfastes, tels que la pratique d’un sport, l’alimentation saine, l’adoption de bonnes habitudes de sommeil, ou encore le dialogue avec des proches, etc.

Parfois, prendre du recul et explorer des solutions alternatives peut être bénéfique. Avez-vous envisagé des aides extérieures, comme un soutien familial élargi, des services d'aide à domicile ou des solutions de garde pour les enfants ? Parfois, déléguer certaines tâches peut alléger le fardeau.

L'impact de votre rôle d'aidant peut être lourd à gérer. Parfois, un soutien psychologique peut être bénéfique.
Il existe également des espaces d’information tels que les Cafés des Aidants, qui pourraient vous permettre d’échanger avec d'autres aidants dans un cadre convivial.

Contactez un conseiller par mail ou par téléphone afin d’échanger sur votre situation. Il pourra vous faire des préconisations par rapport à vos besoins et habitudes de vie et, éventuellement, vous aider à adapter votre organisation.

Vous aidez votre père au quotidien depuis deux ans, vous êtes le/la seul(e) aidant(e) car votre frère n’habite pas dans la région. Il est volontaire pour vous venir en aide, mais vous ne savez quelles tâches il pourrait réaliser en étant à distance.

Dans cette situation, il est essentiel de se concerter entre aidants afin de se mettre d’accord sur le rôle de chacun - en amont et sans attendre une situation de crise - et de maintenir dans le temps la discussion et la communication.
L'aidant le plus proche géographiquement peut assumer le rôle d'aidant principal, intervenant en cas d'urgence ou réalisant des tâches nécessitant une présence physique. Les autres aidants pourraient se concentrer sur des tâches réalisables à distance, telles que coordonner les soins à domicile, organiser des interventions externes ou gérer les démarches administratives en ligne.

Il est aussi important de s’assurer que votre proche pourra compter sur quelqu’un en l’absence de l’aidant principal, ou s’il n’y a pas du tout d’aidant à proximité.

Vous pouvez constituer et partager une liste de coordonnées de toutes les personnes susceptibles d’intervenir en cas de besoin : voisins, amis, autres membres de la famille et service d’aide à domicile.

Si l'organisation du maintien à domicile de votre proche vous préoccupe, n'hésitez pas à en discuter avec un conseiller. Il pourra vous fournir des conseils personnalisés et le soutien nécessaire pour mieux gérer cette situation complexe.

Vous êtes atteint d’une maladie qui a de fortes répercussions sur votre vie quotidienne et cela modifie profondément vos habitudes. Vous souhaiteriez échanger sur ce que vous vivez avec des personnes qui vivent la même situation afin de partager vos expériences.

Selon votre affection, il existe de nombreuses structures associatives qui pourraient répondre à votre besoin.
Celles-ci sont souvent gérées par des personnes directement touchées par la maladie ou par leurs proches, voire dirigées par des professionnels spécialisés.
En vous rapprochant de ces associations, vous pourriez bénéficier d’une écoute humaine, d’informations sur la maladie, de conseils à la vie quotidienne, de groupes de parole et d’échange.

C’est également le bon lieu pour vous tenir au courant des progrès médicaux et de la recherche.
Si ces espaces de parole ne sont pas suffisants pour vous et que vous ressentez davantage le besoin de parler et d’exprimer vos sentiments, pensez aux nouvelles technologies.

Il est désormais facile d’ouvrir un blog par exemple.
Grâce à ce type d’outil vous auriez un espace d’expression libre, et qui pourrait, par ailleurs, avoir un rayonnement sans frontière et aider d’autres personnes dans votre situation.

Vous aimeriez parler de ce que vous vivez ? Vous souhaiteriez être accompagné face à une situation difficile ?
Contactez un conseiller qui pourra vous écouter et vous orienter si besoin.

Vous devez entrer en clinique pour subir une opération, le chirurgien vous a informé qu’à l’issue de l’intervention, vous devrez rester hospitalisé une semaine avant de pouvoir rentrer à votre domicile. De fait, vous vous questionnez sur les démarches à réaliser dans le cadre d’un séjour à l’hôpital.

En premier lieu, il convient de vous renseigner auprès de votre médecin ou du bureau d’admission, afin de connaître les éventuels dépassements d’honoraires et les frais restant à votre charge.
Une fois ces éléments connus, contactez votre assurance complémentaire santé pour savoir si une prise en charge est possible.
En effet, l’Assurance Maladie prend en charge les frais d'hospitalisation à hauteur de 80 %, et c’est l’assurance complémentaire santé (communément appelée « Mutuelle ») qui peut prendre en charge les 20 % restants, ainsi que certains dépassements d’honoraires ou suppléments (pour une chambre particulière, la télévision, le téléphone, …), selon le contrat que vous avez souscrit.

Si vous êtes en situation d’activité, prévenez votre employeur le plus tôt possible, de la date et de la durée de votre absence. Sachez que vous n’avez aucune obligation de préciser les raisons de votre hospitalisation.

Pour faciliter votre parcours de soin, rassemblez les éléments administratifs nécessaires à votre prise en charge, et conservez ces documents pendant toute la durée de votre séjour :

• Une pièce d’identité
• Votre carte Vitale à jour
• Votre attestation de droits
• Votre carte de Mutuelle (carte de complémentaire santé) ou l'attestation de vos droits à la protection universelle maladie (PUMA)
• La feuille d'accident du travail ou de maladie professionnelle, si vos soins sont liés à un accident du travail ou une maladie professionnelle
• Votre carnet de santé
• Votre carte de groupe sanguin, si vous en avez une
• Les courriers de votre médecin traitant
• Les éléments de votre dossier médical : résultats d'examens, échographies, scanners, analyses, radios, ...
• Un moyen de paiement

En tant que salarié, le bulletin de situation ou d'hospitalisation servira d'arrêt de travail pendant votre hospitalisation. À votre sortie, le médecin pourra vous fournir une prolongation d'arrêt si nécessaire.

Si ces démarches vous semblent complexes, si vous avez besoin de conseils pour organiser votre retour à domicile, n'hésitez pas à contacter un conseiller. Leur accompagnement personnalisé pourra répondre à vos besoins spécifiques.

À la suite d’une opération, vous vous retrouvez temporairement handicapé et êtes dans l’obligation de vous déplacer avec des béquilles le temps de votre convalescence. Vous craignez de ne pas réussir à réaliser les tâches du quotidien. Vous vous demandez quels dispositifs pourraient faciliter votre maintien à domicile.

Pour renforcer le soutien familial, envisager des services à domicile peut grandement faciliter votre quotidien : des services de ménage, d'aide à la toilette, de livraison de courses, de médicaments ou de repas peuvent être mis en place.

Pour faciliter votre retour à domicile et évaluer vos besoins, vous pouvez, si vous êtes retraité, contacter avant votre sortie d’hospitalisation, l’Assurance Maladie pour solliciter l’ARDH (Allocation de Retour à Domicile après Hospitalisation).

Quelle que soit votre situation, contactez votre complémentaire santé, ainsi que votre assurance habitation.
Ces organismes peuvent prévoir des aides contribuant au soutien à domicile.

Votre caisse de retraite complémentaire peut éventuellement vous accompagner ponctuellement lors de votre sortie d’hospitalisation pour financer la mise en place d’un service à domicile ou vous orienter vers les dispositifs légaux auxquels vous pouvez prétendre.

Au-delà d’éventuelles aides financières, sachez que l’emploi d’aides à domicile vous permet de bénéficier d’un crédit d’impôt ou d’une réduction d’impôt à hauteur de 50% des sommes engagées (dans la limite d’un certain montant). C’est un avantage fiscal non négligeable pour vous aider dans cette situation temporaire.

Si vous préparez votre sortie d'hôpital et cherchez des informations, ou si vous accompagnez un proche temporairement handicapé et avez besoin d'aide, contactez un conseiller. Il pourra évaluer votre situation et vous guider dans les démarches à entreprendre, en vous orientant vers les ressources appropriées.